Ce travail met en scène des habitants de Téhéran dans leur domicile, un univers délibérément restreint et secret.
Un drap, jeté sur eux, est censé les préserver ; il symbolise leur espoir d’être encore présents au retour de jours meilleurs.
Un regard attentif remarque du mouvement, de l’optimisme ; la vie ne s’est pas arrêtée et les gens n’ont pas baissé les bras sous cette couche de protection, frontière entre le visible et l’invisible.