Kob-guéelé (bleu comme le ciel), réalisé au Burkina Faso, tend à créer une confusion entre fiction et réalité. Les images difficiles à dater offrent une impression à la fois d’errance et de rêverie avec des paysages réels ou recréés qui prennent des allures de décors de cinéma et de bribes d’Architecture moderniste africaine.
Les formes de la Nature se confrontent et parfois se confondent avec celles que l’homme a fabriquées. Ce travail n’est ni documentaire, ni revendicatif, mais cherche à rendre tangible une certaine utopie.